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métropole du grand paris - Page 5

  • VANVES PARTICIPE AU CARREFOUR DES MOBILITES SUR LE DEVENIR DU BOULEVARD PERIPHERIQUE

    Le Maire ou un représentant de la municipalité de Vanves a dû participer, la semaine dernière, au lancement du « Carrefour des Mobilités »  qui est espace de dialogue sur les transformations du périphérique parisien. Annoncé par la Maire de Paris à l'été 2022, il a pour objectif de créer un espace de dialogue entre les différentes parties prenantes pour co-construire les futures et nécessaires transformations du périphérique afin de continuer la lutte contre la pollution de l'air, réduire la circulation automobile et végétaliser cet ouvrage urbain. Plus de 555 200 personnes vivent à proximité du périphérique, dont 40 % vivent dans des logements sociaux.

    La pollution aux particules y est 6 fois supérieure aux seuils recommandés par l'OMS et 90 % des sites testés dépassent les limites sonores fixées par l'Union européenne. D’ailleurs une étude rendu publique par AirParif le même jour, indiquait une plus forte concentration des particules ultrafines aux abords des axes routiers. De la taille d’un virus ou d’une molécule d’ADN, elles sont actuellement «les plus petites (100 nanométres) que l’on puisse mesurer et observer» précise Airparif. Son étude indique que les niveaux de PUF mesurés varient largement d’un axe routier à l’autre : de 16.600 particules/cm3 mesurées en moyenne à proximité d’un boulevard parisien à 53.300 particules/cm3 mesurées à proximité d’une route nationale, en passant par 23.200 particules/cm3 mesurées à proximité du périphérique parisien. L'enjeu de transformation de cette infrastructure est donc majeur.

    «Végétalisation, réduction de la circulation, lutte contre l'auto-solisme, soutien au covoiturage notamment, sont autant d'actions majeures à mener pour la transformation du périphérique d'ici à 2030» préconise la ville de Paris. «La transformation du périphérique est une étape essentielle de l'adaptation de Paris pour répondre à l'urgence climatique et écologique. Pour aller plus loin dans nos efforts de réduction du trafic routier et de lutte contre la pollution de l'air, nous avons besoin d'agir tous ensemble, à l'échelle régionale, afin de réussir notre pari commun qu'est l'avènement d'un avant et d'un après Jeux Olympiques : c'est pourquoi nous ouvrons aujourd'hui la concertation avec le Carrefour des mobilités» a expliqué Anne Hidalgo, Maire de Paris

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    ASSEMBLEE NATIONALE : Gabriel Attal a siégé hier après-midi  à l’assemblée nationale pour la Rentrée des députés et l’élection de sa présidente. Il a un mois pour décider ou non de siéger ou de rester ministe, s’il est reconduit aux Comptes Publiques dans le nouveau gouvernement d’Elisabeth Borne, ce qui devrait être le cas. Ainsi Claire Guichard sa suppléante ne le remplacera qu’à la mi-Juillet dans ce cas.  

    CAPTEURS DE C02 : La ville devrait  installer dés la Rentrée, près de 250 capteurs de CO2 dans les écoles et les crèches, pour vérifier la qualité de l’air avec des mois de retard sur les villes voisines. Et notamment à Larmeroux où la ville réalisera à compter de septembre (avec 1,5 an de retard) de nouvelles mesures de CO2 pour vérifier si l'excès de CO2 constaté antérieurement dans une classe existe toujours, à la suie d’une action diligenté par un parent d’élève particulièrement tenace

    ATELIERS D’EXPRESSION : La journée Portes Ouvertes de samedi à l’école Marceau a reçu de nombreuxvisiteurs et permis d’enregistrer environ 120 réinscriptions et déjà des inscriptions de nouveaux adhérents, notamment dans les activités très demandées (Aquarelle, Couture du Lundi et du Mercredi, Dessin, Modelage, Peinture, Tapisserie-Rénovation de sièges). Mais il y a une suiecar jusqu’au 02 juillet, des personnes qui ne sont pas adhérentes et qui souhaitent découvrir l’association et une activité, ou des adhérents qui veulent découvrir une nouvelle activité, peuvent  passer au pavillon de lare v.Hugo, lors des atelier pour échanger

    METROPOLE DU GRAND PARIS : Le conseil Métropolitain dans lequel siège depuis le renouvellement du conseil municipal, Xavière Martin, représentant le maire se réunit vendredi prochain au conseil Economique et Social place d’Iéna. Parmi les 47 délibérations inscrites à l’ordre du jour, l’une d’entre elle concerne Vanves : la  Convention de financement relative aux études de projet de résorption des points noirs de bruits ferroviaires sur les murs anti bruits 5 et 8, prévus le long de la voie SNCF Paris Montparnasse

    BRUIT : Le  défilé de mode organisé au lycée Michelet dans le cadre de la Fashion Week Homme printemps-hiver 2022-2023 samedi dernier, n’a pas que heureux. Et notamment, un riverain du Boulevard du lycée qui a carrément posé la question sur le site internet de la mairie : « Monsieur Bernard Gauducheau était-il aussi présent… au lycée Michelet à l'occasion de l'évènement «Fashion Week  qu'il a autorisé ? A-t-il pu apprécier la puissance de la sono, digne d'une rave party, déployée à - de 100m des riverains du boulevard du lycée ? A-t-il pu mesurer l'enfer que nous avons vécu samedi apm et samedi toute la soirée ? Peut-il comprendre notre colère d'avoir été ainsi traité alors qu'aucune information ne nous a été donnée de la tenue d'un concert techno devant nos fenêtres ? Inconscience ou mépris ? »

    ASSOCIATION : L'association Agir pour le Plateau ne serait pas présente au forum des associations. La mairie lui aurait fait savoir que comme c'est une association politique, elle ne pourra pas participer à ce rendez-vous de rentrée. Pourtant dans les documents municipaux, elle est classée parmi les associations environnementales ou cadre de vie.   

  • A VANVES ET EN ILE DE FRANCE, LA CIRCULATION DIMINUERAIT

    En mars, les embouteillages franciliens étaient inférieurs de 16% à leur niveau de mars 2019 selon une étude de l’Institut Paris Région (IPR IDF). Le niveau de congestion sur le réseau routier principal aurait chuté de 9% en mars par rapport au mois de février. Faut-il y voir l'effet de l'envolée des prix des carburants, tirés par la guerre en Ukraine ? Par sûr que les vanvéens s’en aperçoivent, notamment ce week-end qui sera le dernier de la Foire de Paris, source d’embouteillages et de stationnement anarchique habituellement. Mais il est vrai que cette semaine, la pression a été moins forte pour les riverains, peut être à cause des vacances scolaires. Mais d’ici là, les vacanciers seront rentrés.   

    Depuis le début de l'année pourtant, le kilométrage de bouchons dans la région parisienne était orienté à la hausse. La dernière semaine du mois de février, cet indicateur était même repassé largement au-dessus de son niveau de la première semaine de mars 2020 (+16%), juste avant la pandémie de Covid-19, qui sert de base de calcul. Mais au mois de mars, les embouteillages franciliens étaient au contraire inférieurs de 16% à leur niveau de mars 2019. «On peut supposer que l'augmentation exceptionnelle des prix des carburants fait partie des explications», expliquait on à l’IPR-IDF. Les prix à la pompe avaient atteint des records historiques, le gazole comme l'essence dépassant la barre des deux euros le litre  en Mars, avant de rechuter en avril grâce à la remise gouvernementale de 15 à 18 centimes par litre.

    Mais il y a une autre explication, plus profonde : Selon une étude de l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur), le nombre de voitures a diminué pour la première fois en Ile de France, en 2020, résultat de la crise sanitaire plus que de l'interdiction progressive de circulation des véhicules les plus polluants. «Alors que la tendance de fond en France est à l’augmentation du nombre d'immatriculations, un phénomène de baisse du parc immatriculé se met en place depuis 2018 dans la MGP (Métropole du Grans Paris) et depuis 2019 en Ile de France» indique l’Apur. «Depuis trois ans, on observe une baisse inédite du nombre d’immatriculations.. Fin 2020, la Région qui compte 5,4 millions de voitures, enregistrait environ 8.500 immatriculations de voitures et véhicules utilitaires légers de moins qu'en 2019, soit une diminution inférieure à 0,2%. La courbe de la région semble rejoindre celle de Paris, qui perd en moyenne 3.400 véhicules, soit 0,5% de son parc, chaque année depuis 2012. La diminution du parc immatriculé observée à l'échelle métropolitaine et régionale est un phénomène nouveau en France», souligne l'Apur pour qui «la crise sanitaire et les confinements successifs ont nettement freiné l'achat de nouveaux véhicules».

    «Cette tendance s’observe dans plus de la moitié des communes de la Métropole (65 sur 131 communes)», selon l’Apur qui a relevé que  «si en Seine-Saint-Denis le parc automobile continue d'augmenter plus faiblement, à Paris, sa diminution est «une tendance de fond» qui s'explique «par le développement des transports collectifs, l'essor du vélo, la création des zones à faibles émissions (ZFE) et l'augmentation du coût des véhicules (consommation et stationnement notamment) ». Les futures étapes de 2024 et 2030, synonymes de fin du diesel et des véhicules thermiques dans le coeur de la métropole, devraient encourager particuliers et entreprises à anticiper les conversions de véhicules